HELLO, Je suis Emilie !
Experte réseaux sociaux pour entrepreneurs locaux
Ma mission :
Aider les entrepreneurs locaux à connaître le succès et à s’épanouir dans leur métier grâce aux réseaux sociaux.
Comment j'ai boosté mon commerce et ma fierté
grâce aux réseaux sociaux
Avec une maman seule pour élever 3 enfants, il faut se prendre en charge plus vite…
Toute mon enfance et mon adolescence, j’ai vu ma maman donner tout son temps et son énergie pour nous, au risque de s’oublier. J’ai énormément d’admiration pour ce qu’elle a accompli seule. Mais cela m’a angoissée. Et a ancré mon envie de profiter de l’existence à 100%.
A 18 ans, je suis partie étudier l’Histoire à la Sorbonne. Pleine de convictions, une carrière dans la journalisme à Paris toute tracée dans ma tête… Mais j’avais négligé la fragilité qu’on a à cet âge-là. Ma famille, ma ville, mes amis me manquaient… Cruellement. A m’en rendre malade.
Deux mois après la rentrée universitaire, j’ai avoué mon ressenti à ma famille. Je craignais tant leur jugement et leur déception… Mais ils ont été formidables de compréhension. J’ai refait mes cartons et suis rentrée en Belgique m’inscrire à l’université de Liège… et me reconstruire. Il a fallu plus d’un an pour y arriver.
De fil en aiguille, mes études bouclées, après un stage à Paris et 8 mois en solo à Lille (oui, je voulais toujours habiter en France). On m’a proposé un job pour un magazine à Bruxelles. Je suis alors rentrée en Belgique. Mais ce contrat s’est vite transformé en une expérience humaine négative. Je vous passe les détails : j’ai dû y mettre fin après quelques mois.
Combinant les petits boulots rédactionnels et un mi-temps dans le magasin familial « en attendant mieux », j’ai en fait commencé à réellement prendre goût au travail de commerçante. Et j’ai réalisé que mes racines étaient bien plus importantes pour moi que je l’imaginais. J’ai alors commencé à m’investir de plus en plus dans le commerce familial.
Mais je me suis assez vite sentie à l’étroit dans une structure figée, sans espoir d’épanouissement. Dans les sociétés familiales, tout peut être si challengeant… Mais aussi si compliqué…
J’ai décidé de reprendre ma vie en main et de lever la tête. Et je me suis lancée à mon compte à 100%, avec ma propre maroquinerie-bagagerie, toujours dans ma ville natale.
Un super départ ! Mais…
Enfin ma boutique à moi !
Mais, passée l’effervescence des débuts, le soufflé est retombé. Je tournais un peu en rond dans mon train-train quotidien au magasin. Et les ventes ont commencé à stagner. Finie la belle courbe ascendante des débuts : j’avais atteint le plafond de verre.
Un chiffre d’affaires suffisant pour payer les factures tant bien que mal, mais pas pour m’épanouir comme je le souhaitais dans mon activité et avoir des perspectives d’évolution.
Je rentrais le soir déprimée, avec l’impression de ne pas vivre ma vie et de ne servir « à rien ». Je commençais même à en vouloir aux gens qui ressortaient de mon magasin sans rien acheter. Je n’en pouvais plus d’assurer la « permanence » 8 heures par jour, au cas où quelqu’un aurait peut-être envie de m’acheter quelque chose…
Bref, j’étais totalement frustrée.
Et je n’imaginais clairement pas l’histoire comme ça.
Il était urgent de réagir.
J’ai testé plein de choses : organiser des promotions, des portes-ouvertes, des nocturnes, des partenariats avec d’autres commerces de la région, prendre des publicités hors de prix dans des journaux locaux et magazines nationaux, …
Le constat était toujours le même : des flops, des retombées inférieures à l’argent dépensé, des déceptions à répétition, … Et bien trop d’heures passées au magasin à compter les mouches.
J’angoissais en voyant mes amis acheter une maison, évoluer dans leur vie, investir… Alors que moi je peinais à me verser mon (maigre) salaire à la fin du mois. Autour de moi, on admirait mon courage, ma ténacité, ma liberté…
Mais l’envers du décor était tout autre. Et une question m’angoissait : avais-je vraiment fait le meilleur choix en me lançant à mon propre compte ?
La révélation des réseaux sociaux
J’ai alors eu l’idée de tenter quelque chose qu’aucun de mes concurrents n’avait exploré réellement à ce moment-là : les réseaux sociaux. Au lieu de scroller sur Facebook à longueur de journée pour passer le temps, je me suis dit qu’il y avait sûrement quelque chose à tenter de de côté-là. Et j’ai mis les heures creuses de ma journée à profit pour dynamiser ma page Facebook.
Avant de baisser les bras, il faut tout tenter !
Faut-il obligatoirement un gros budget pour se démarquer sur les réseaux sociaux ?
Pourquoi les multinationales seraient-elles les seules à tirer profit d’internet ?
Je me suis plongée en solo dans l’apprentissage des réseaux sociaux.
L’idée : booster ma présence sur les réseaux sociaux pour attirer des clients dans mon magasin.
Photos et vidéos « maison », contenus variés, ventes en live, campagnes Facebook, … J’ai tout expérimenté : en m’inspirant de ce que d’autres faisaient, en lisant énormément, en testant, en essayant, en me trompant aussi. En en réessayant, jusqu’à trouver ce qui intéressait mes clients potentiels, ma cible.
Je me suis d’abord pris des vents, bien sûr. Beaucoup, même ! Puis peu à peu, quelques commentaires sont arrivés. Alléluia !
Les premiers encouragements.
Le compteur des abonnés s’est mis à tourner.
Lentement. Puis plus vite.
Là, j’ai senti que je tenais quelque chose.
Plus de 7500 abonnés
En un an, la différence s’est fait sentir sur la fréquentation du magasin et sur mon chiffre d’affaires. J’ai noué un lien nouveau et plus intéressant avec ma clientèle, qui me faisait régulièrement savoir qu’elle avait plaisir à me suivre.
Ça m’a redonné foi en mes choix. Je me suis sentie plus épanouie. Et j’ai pu à nouveau penser « projets ».
Je me suis faite une place dans la région en tant que commerçante dynamique et motivée, spécialiste dans mon domaine !
Et deux ans plus tard :
- j’avais plus de 7500 abonnés qualifiés sur Facebook et Instagram. (Un super réservoir de clients !)
- Je déménageais dans un point de vente plus grand et mieux situé.
- Puis surtout : je commençais à m’amuser en créant mes publications et à prendre un vrai plaisir dans mon magasin.
- On parlait de moi, je me sentais appréciée, utile et inspirante.
D’autres commerçants de ma ville ont d’ailleurs commencé à me demander des conseils pour leurs réseaux sociaux. Et la première demande de community management est arrivée, sans que je m’y attende.
Le grand saut
C’est comme ça que j’ai décidé d’en faire mon métier à 100% en devenant Community manager et coach-formatrice Facebook, Instagram et LinkedIn.
Les réseaux sociaux m’ont tellement apporté, humainement et commercialement, que je souhaitais partager mon expérience avec d’autres entrepreneurs. Pour leur rendre espoir en leur métier, leur redonner foi en eux-mêmes, leur faire prendre conscience que ce qu’ils réalisent au quotidien est réellement extraordinaire. Et mérite d’être partagé avec succès en ligne !
Je vous aide à vivre la même histoire ?
Emilie.
PS : Et sinon, j’adore le vin, les chats et les voyages.
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